Avant de se lancer dans le grand bain et mettre les mains « dans le cambouis », il est important de diagnostiquer une installation existante pour savoir si une sécurité optimum est assurée, tant pour les appareils que pour les utilisateurs.
Cet « audit » permet de savoir si une rénovation s’impose, et représente aussi un premier contact avec les normes, un moyen de les aborder progressivement pour constater qu’elles sont beaucoup moins effrayantes qu’elles n’y paraissent 😉 !
Cet article étant relativement long, je vous rappelle de ne pas chercher à retenir toutes les informations.
L’application prochaine à votre projet permettra d’appliquer et de retenir 😉 !
Point N°1
Commençons par un petit retour en arrière… 😉
N’avez-vous pas le souvenir dans votre enfance (pour les plus âgés d’entre nous), des coupures de courant à cause des orages ou de problèmes diverses, et se produisant presque toujours le soir, histoire de bien nous foutre les boules lorsqu’on se retrouvait dans le noir.
Mon père m’avait montré la boite EDF beige accrochée dehors à un poteau, à une trentaine de mètres de la maison, et une fois ouverte il fallait appuyer sur un bouton de réarmement pour rétablir le courant.
Alors souvent, dans ces moment d’obscurité, j’entendais :
Christophe ? Tu peux aller remettre le courant ?
Mais bien sûr… ouais youpi 🙁 !
Habitant en campagne, sortir seul la nuit n’a jamais été une partie de plaisir à cause des « imaginaires » Alien, Loups-garous et autres monstres nocturnes qui n’attendaient que ça pour nous faire peur et nous bouffer !
C’était donc avec la rapidité de l’éclair qu’après une profonde inspiration je m’élançais dans la pénombre jusqu’à la fameuse boite magique, l’ouvrais, appuyais sur le bouton, et voyant la maison s’éclairait de nouveau je refermais et m’élançais aussitôt sur le retour tel un superman !
Ce qui ne m’empêchais pas de sursauter, terrassé de terreur, dès que je marchais sur une noisette !
Sans oublier que parfois, tremblant comme une feuille, à bout de souffle, fier d’avoir réussi cette périlleuse « mission impossible », mais surpris de ne plus voir la lumière, j’entendais :
Christophe ? Tu peux retourner, ça vient de ressauter 🙁 !
C’est donc entre autre en pensant à moi que ces messieurs améliorant les normes, ont décidé que pour les foyers dont le disjoncteur de branchement (le disjoncteur principal) n’est pas dans la maison près du tableau de répartition mais dans une boite beige dehors (et parfois relativement éloignée), il faut ajouter un dispositif de coupure (l’équivalent d’un interrupteur) juste avant et à côté du tableau de répartition.
Pffff !!! Ils n’auraient pas pu y penser plus tôt 🙁 !
Z’avez vu ? On vient d’aborder le premier point normalisé du diagnostique de votre installation :
- Vous devez pouvoir couper rapidement l’alimentation générale sans perdre de temps et sans courir au bout d’un chemin !
Précision importante : ce point de coupure proche et accessible permet bien de couper volontairement l’installation en cas d’urgence ou d’intervention, mais ne vous empêchera pas d’aller réarmer le disjoncteur de branchement au bout du chemin (si tel est le cas) si c’est lui qui a coupé comme de la cas de l’anecdote précédente.
Le point de coupure doit être librement accessible, c’est à dire pas derrière une porte (placard, coffret, pièce) fermée à clé, est doit être placé à moins de 1,80m du sol.
Si votre disjoncteur de branchement se trouve près de votre tableau électrique, inutile d’ajouter ce deuxième point de coupure.
Pour mieux visualiser la « chaîne » des éléments qui composent une installation électrique, voici un petit schéma de principe :
Le point de coupure sera intercalé si nécessaire entre le disjoncteur de branchement et l’interrupteur différentiel
La fameuse boite beige (parfois grise) qui existe toujours en limite de propriété, contient le compteur électrique (classique ou Linky), et contient encore assez souvent le disjoncteur de branchement.
Pourquoi à l’intérieur de certaines maisons il y a le disjoncteur de branchement, et parfois même aussi le compteur, près du tableau de répartition (appelé aussi tableau électrique), alors que dans d’autres maisons le compteur accompagné ou non du disjoncteur de branchement se trouve dehors dans la boite beige ?
C’est tout simplement une question de coût 🙁 !
Les laisser dehors revient moins cher que de les avoir à l’intérieur de la maison, comme quoi le confort à un prix !
Résumé point N°1 :
- Disjoncteur de branchement près du tableau – > parfait (permet une coupure volontaire rapide)
- Disjoncteur de branchement dehors ou trop difficile d’accès -> ajout d’un point de coupure près du tableau
Point N°2
La deuxième vérification à effectuer est la présence d’au moins un DDR pour protéger la totalité de l’installation !
Il a dit quoi là ?
DDR pour Dispositif Différentiel à courant Résiduel.
Pas très causant ce truc là 🙁 !
Et pourtant ce truc est là pour vous sauver la vie !
En général, quand le disjoncteur de branchement est à l’intérieur de l’habitation ou dehors mais pas trop loin (moins de 30m, et dans la boite beige ou grise avec son copain le compteur), il dispose aussi du dispositif différentiel (la sensibilité est d’ailleurs inscrite dessus et elle est inférieure à 650mA).
Si le disjoncteur de branchement est dehors mais loin de l’habitation (supérieur à 30m), il ne dispose pas de la fonction différentielle.
Dans ce cas le tableau de répartition doit disposer d’un dispositif différentiel en tête de ligne.
Oh P… ! Il recommence !
Tête de ligne veut juste dire en premier sur la ligne, la rangée sur laquelle sont alignés les disjoncteurs (on verra ça prochainement).
Dans la pratique, c’est quoi un DDR et comment ça fonctionne ?
Pour faire simple, il faut enlever les idées préconçues qui laissent penser que le courant électrique se transforme en lumière, en chaleur, etc.
Que nenni !
Le courant électrique reste du courant électrique.
C’est le passage du courant (les électrons) dans un conducteur spécifique qui engendre soit de la lumière, soit de la chaleur, soit un mouvement (moteur), etc…
Autrement dit c’est la résistance des matériaux qui engendrent soit la lumière, soit la chaleur, et le magnétisme du courant passant dans une bobine qui engendre un mouvement.
Mais les électrons continuent leur course.
Ça signifie que tout le courant électrique qui rentre dans votre installation doit en ressortir.
Le fameux DDR (pas D2R2 😉 !) « regarde » et compare le courant qui sort avec le courant qui entre.
S’il n’y a aucune différentce (d’où son nom 😉 ), il ne fait rien !
S’il y a une fuite pour une raison de défaillance d’isolement d’un appareil, les électrons qui sortent sont moins nombreux que ceux qui entrent et…
… Arrrrghhhh ! Différence, STOPPPP ! Kaput !!!
Non, pas kaput, ça coupe !
Si on fait encore un saut dans votre vécu, n’avez-vous jamais ressenti une petite châtaigne en touchant la porte d’un réfrigérateur ou d’un congélateur dans une installation ne disposant pas d’un DDR ?
Moi oui !
Ça pique !
Et c’est peut-être à cause des semelles de chaussures qu’on ne se fait pas sérieusement électrocuter !
Les DDR disposent d’indications variables en fonction de la grandeur de l’installation (pouvoir de coupure), généralement 40A ou 63A mais d’autres valeurs existent.
Il y a 2 types : A ou AC.
Le type A assure la détection des composantes continues (fuites de courant continu), le type AC uniquement les composantes alternatives.
Et enfin l’indication 30mA, courant de fuite maximum que peut « supporter » un corps humain sans séquelle irréversible ou mort 🙁 .
Je vous fais encore le même rappel : pas de prise de tête, le choix de toutes ces indications sera expliqué par la pratique.
Pour vous permettre de visualiser un interrupteur Différentiel (DDR), en voici un :
L’appui sur le bouton « Test » provoque une différence entre sorties et entrées et permet de contrôler que la coupure fonctionne bien
Résumé point N°2 :
- L’installation doit disposer d’au moins un Dispositif Différentiel à courant Résiduel (DDR), cela peut être le disjoncteur de branchement s’il dispose de cette fonction (dans ce cas la sensibilité est écrite dessus).
- Si le disjoncteur de branchement n’a pas la fonction différentielle, l’installation doit disposer d’au moins un interrupteur différentiel (photo ci-dessus) en début de ligne pour protéger l’installation (donc les utilisateurs) des fuites de courant dues à des défauts d’isolement des appareils branchés.
Point N°3
La prise de terre.
Pour comprendre l’utilité d’une prise de terre, il faut reprendre l’analogie de l’électricité avec l’eau.
La prise de terre représente la bonde d’une douche, d’un lavabo, d’une baignoire, elle évacue l’eau.
S’il y a l’ouverture d’un robinet, c’est comme une fuite de courant (un fil de phase dénudé qui touche l’enveloppe métallique d’un appareil électroménager), le fil de terre assure l’évacuation du courant comme la bonde assure l’évacuation de l’eau, 😉 !
L’installation doit donc comporter une prise de terre, composé d’un piquet métallique enfoncé dans le sol ou d’un conducteur enfoui dans une tranchée ou autour de l’habitation.
Le conducteur enfoui est généralement une tresse de cuivre nu, et sa section doit être de 25mm².
Cette mise à la terre effectuée le plus près possible du tableau est reliée à l’installation électrique par une barrette de mesure :
Le fil de terre reliant la barrette au tableau de répartition sera de 10mm².
La barrette de mesure permet d’ouvrir le circuit de terre pendant la mesure pour éviter de mesurer à la fois la terre et l’installation (souvenez-vous de la mesure d’une résistance 😉 )
La mesure d’une prise de terre doit avoir la valeur en ohm la plus faible possible.
Cette prise de terre doit se retrouver dans toute l’installation (prise de courant avec broche de terre), mise à la masse des luminaires à socles métalliques, etc.
L’installation doit disposer aussi d’une LEP qui signifie Liaison Équipotentielle, encore un terme barbare qui désigne tout simplement la mise à la terre des canalisations métalliques quelles qu’elles soient (eau, gaz, évacuation, etc).
Il s’agit d’une bride ou d’un collier métallique assurant le contact serré d’un fil de terre de 2,5mm² sur chaque canalisation, l’ensemble étant relié à la terre :
Résumé point N°3 :
- Présence d’une prise de terre
- Présence d’une liaison équipotentielle
Point N°4
La protection des circuits.
Le tableau électrique est appelé aussi tableau de répartition, ce qui signifie pleinement son rôle d’attribution du courant vers différents circuits de l’habitation, par exemple un circuit de lumière, un circuit de prise de courant, un circuit de chauffage électrique, etc.
Chaque circuit doit être protégé par un dispositif de coupure si l’intensité demandée devient anormalement excessive comme lors d’un court-circuit, et permettant d’éviter les conséquences désastreuses qui peuvent en découler (incendies).
Dorénavant, les seuls dispositifs acceptés par la norme sont les disjoncteurs magnéto-thermiques qui ont la capacité de pouvoir être réarmé une fois l’origine de la surintensité réglée.
Tableau de répartition équipé de disjoncteurs avec en tête de ligne un DDR haute sensibilité (interrupteur différentiel 30mA Type A)
Sont donc considérés à être rénover tous les tableaux de répartition équipés de fusibles quel que soit le type de porte-fusibles (amovible pour fusibles cartouche, céramiques embrochables, à vis, etc.)
Résumé point N°4 :
- Chaque circuit doit être protégé par un disjoncteur (nous verrons ultérieurement comment déterminer sa valeur en intensité)
Point N°5
La salle de bain.
Il s’agit ici d’un approfondissement de la liaison équipotentielle vu au point 3, et appliquée en détails aux salles de bains.
L’eau est l’électricité ne faisant pas particulièrement bon ménage 🙁 , tous les équipements métalliques de la salle de bains doivent être reliés entre eux par une liaison équipotentielle.
Sont donc compris dans cette mise à la terre, les baignoires métalliques, les bondes de tous les receveurs d’eau (lavabo, évier, douche, baignoire), les canalisations d’eau, de gaz, de chauffage, les évacuations métalliques, les bâtis de portes métalliques, les embases de luminaires, etc.
L’alimentation électrique de la salle de bain doit être protégée par un interrupteur différentiel.
La liaison équipotentielle doit être un lien continue en elle-même, c’est à dire que par exemple une canalisation en cuivre ou un élément métallique ne doit pas servir pour assurer une continuité entre 2 points :
Risque de coupure de la liaison équipotentielle en cas de retrait de la canalisation du haut.
Résumé point N°5 :
- Liaison équipotentielle minutieuse dans la salle bain
Point N°6
Les volume de la salle de bain.
La salle de bain est un lieu particulièrement « surveillé » dans le domaine électrique afin que ne se répète pas le dramatique accident qui a coûté la vie en mars 1978 à notre regretté Claude François 🙁 !
La salle de bain est pour cela compartimentée en Volumes décrit dans la norme électrique NFC 15-100.
Cette dernière a cependant été modifiée par l’amendement A5, et la salle de bain qui comprenait auparavant 4 volumes (de 0 à 3) n’en compte plus que 3.
Ces volumes correspondant à des autorisations ou interdictions d’installations d’équipements.
Le volume 3 à donc été supprimé.
Dorénavant, nous avons le volume 0 correspondant au volume occupé par une baignoire ou un receveur de douche.
Le volume 1 qui s’étend à la verticale du volume 0 jusqu’à 2,25m du sol, ou 2,25 depuis le fond du volume 0 si le receveur ou la baignoire son surélevé.
Le volume 2 qui commence à côté du volume 0 et 1 et s’étend sur 60cm de largeur pour 2,25m de hauteur :
L’application des points à respecter dans la salle de bain n’étant pas particulièrement passionnant à décrire (sauf pour la planification immédiate d’un projet de rénovation), si vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à consulter la norme NFC15-100 section « La norme pièce par pièce » paragraphe « salle de bain » en suivant ce lien : Les Normes, généralités et démystification.
A noter que l’abréviation TBTS signifie Très Basse Tension de Sécurité (inférieur ou égal à 12V alternatif ou 30V continu)
Les sigles IP (Décodage complet plus bas dans la page) :
IP pour Indice de Protection, suivi de 2 chiffres, le premier indique la protection contre les corps solides, le deuxième contre les corps liquides, X quand un chiffre est non renseigné) :
- IPX1 : protégé contre les chutes d’eau verticales
- IPX2 : protégé contre les chutes d’eau jusqu’à 15° de la verticale
- IPX3 : protégé contre la pluie
- IPX4 : protégé contre les projections d’eau
- IPX5 : protégé contre les jets d’eau
- IPX6 : protégé contre les paquets de mer et projections assimilables
- IPX7 : étanche à l’immersion temporaire
- IPX8 : étanche à l’immersion prolongée
Extrait du document Schneider Electric « Enveloppes et degrés de protection »
Vous pouvez retrouver les dispositions applicables à la salle de bain sur le wiki de l’installation électrique de Schneider Electric
Point N°7
Pas de risque d’électrocution.
L’installation ne doit comporter aucune partie sous tension non protégée (fils dénudés, dominos non placés dans les boites de raccordement ou goulotte, carcasses de matériels en mauvais état et laissant facilement accessibles des parties sous tension, etc.).
Le passage des fils électriques doit se faire dans des gaines ou dans des goulottes adaptées.
L’isolant des fils électriques doit être en bon état.
Les appareillages (prises de courant, interrupteurs, etc.) doivent être correctement fixés et en parfait état (pas d’élément cassé).
Résumé point N°7 :
- Câblage, connexion, appareillage en parfait état et ne présentant aucun risque d’électrocution
Point N°8
Pas de matériel obsolète ou non adapté.
Vous avez peut-être déjà vu de vieilles installations électrique comportant des fils dont l’isolant est une sorte de tresse en tissu.
Ce type de fils est interdit car très dangereux (facilement inflammable).
De même, certaines connexions étaient « autrefois » réalisées par une torsade des fils concernés et le tout recouvert d’une sorte de sparadrap isolant.
Ça aussi, c’est à remplacer immédiatement.
Interdit les vieux interrupteurs et prises de courant en porcelaine, les prises de courant sans puits (voir ci-dessous), les interrupteurs métalliques, les interrupteurs avec fusible, les douilles métalliques d’ampoule sans contact de mise à la terre, etc.
Les appareillages doivent respecter les indices de protection recommandés.
Ainsi, en fonction de la pièce concernée, les appareillages ne seront pas soumis aux mêmes risques (Une chambre n’aura pas les risques de projection d’eau d’une salle de bain).
Les indices de protection IP et leur décodage facile
Voici les recommandations des protections adaptées en fonction de la localisation :
Résumé point N°8 :
Pas de matériels obsolètes ou non adaptés (oui j’me suis pas cassé, j’ai repris la première phrase du point 8, j’ai pas trouvé plus simple 😉 !)
Point N°9
Je cite ce point mais je ne le traiterai pas car il s’agit des dispositions concernant les immeubles collectifs (se renseigner auprès du syndic).
Il s’agit de contrôler les installations des appareils situés dans les parties privatives et alimentés par les parties communes, et les appareils situés dans les parties communes et alimentés par les parties privatives.
Point N°10
Ce point concerne les installations électriques des piscines.
Comme pour la salle de bain, des volumes ont été définis par la norme.
S’agissant d’une installation très souvent réalisés par des artisans et rarement par des particuliers, sauf demande express de votre part chers lecteurs, je ne traiterai pas ce point.
Ben quoi ? T’es fatigué ? Pourquoi tu ne veux pas traiter ces 2 derniers points ?
Mais non, même pas mal 😉 !
Je pense qu’il faut savoir se cantonner dans ce que l’on sait faire, et avec des éléments qu’on peut facilement vérifier par soi-même.
Donc l’installation électrique d’une habitation à part entière, sans partie commune, et… « standard » (sans équipement extérieur de loisir).
Sachant qu’une fois cette formation acquise, vous saurez voler de vos propres ailes et traiter ces 2 points « manquants » en trouvant vous-mêmes les renseignements nécessaires 🙂 !
Apprendre à voler est une chose, faire de la voltige en est une autre, et n’est pas une obligation !
Mais pour faire de la voltige vous devrez d’abord apprendre à voler.
C’est pareil pour l’électricité 😉 !
Point N°11 (Yesss, le dernier 🙂 !)
Renforcement de la sécurité des personnes.
Afin d’optimiser la sécurité des personnes, les tableaux électriques de répartitions doivent être équipés d’au moins un interrupteur différentiel 30mA (haute sensibilité).
S’il y en a plusieurs, c’est parfait, s’il n’y en a qu’un seul, il doit être de Type A (voir explication au Point N°2)
Les interrupteurs différentiels (DDR) sont toujours placé en première place sur une rangée d’un tableau (en tête de ligne 😉 ).
Enfin pour finir, toutes les prises de courant doivent être muni d’obturateur automatique empêchant les enfants en bas âges d’introduire quelque chose dans ces prises :
A y est ! Fini !
Ça va ? Pas trop épuisé ?
Bon, c’est vrai que c’est un peu « chiant » toutes ces dispositions, mais gardez en mémoire que c’est pour garantir une sécurité et un confort d’utilisation maximum.